• Une bien belge histoire dernier épisode

    Dernier jour à Overijse dans l'arondissement
    Bruxelles-Hal-Vivorde qui cristalise toutes les tensions.
    Nous y avons rencontré des Flamands très accueillants et d'autres, que les Belges appellent des "extrémistes".
    Il ne faut pas trop  les chatouiller en français, les électeurs du N-VA, le parti nationaliste flamand, surtout après quelques verres de bière.
    Finalement pas bien méchants, mais derrière leur discours bien rodé pointe le rejet de l'autre , des autres, de tous les autres.. Comme souvent , le nationalisme se nourrit des frustrations exacerbées par la crise.

    Nous tenons ici à remercier toutes les personnes qui nous ont si gentiment répondu tout au long de notre enquête. Les Belges semblent très peu touchés par la maladie du droit à l'image et c'est si agréable... Nous dédions ce périple à Virginie, lyonnaise mariée à un Flamand qui aurait tant voulu que les médias parlent de ce que les gens ont vraiment dans la tête.

     


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  • Fermez les ! Bordel !

    Le 25 novembre avait lieu au Perthus, une manifestation contre les violences faites aux femmes. Cette rencontre de Catalans et de Français sur la frontière voulait en particulier dénoncer  les bordels géants de La Jonquère, qui profitent de la législation catalane très laxiste pour les marchands de femmes proxénètes. Rencontre avec des militantes de la cause des femmes.



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  • C'est Standard & Poor's qui l'a fait !

    Le gouvernement introuvable de Belgique est en passe de voir le jour. C'est Elio Di Rupo( PS) dont la démission avait été refusée par le roi qui le formera. En une nuit, après 530 jours d'atermoiements et d'énormes manifestations populaires qui n'avaient pas changé la donne, un accord sur le budget a été trouvé, après que l'agence de notation Standard & Poor's a dégradé la note de la Belgique de AA+ à AA. Le roi des Belges aime les agences de notation. Il faudra demander leur avis aux Belges d'ici quelques mois.  

    Une bien belge histoire quatrième épisode ou la vérité sort de la bouche des enfants.

    A quelques kilomètres de Maastricht aux Pays Bas, les Fourons furent dans les années soixante un territoire très convoité. Au moment de la fixation de la frontière linguistique, son passage à la province flamande du Limbourg a donné lieu à de violentes manifestations. Aujourd'hui tout est paisible... En apparence.


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  • Grève à Pôle emploi.

    En février 2011 nous rencontrions Christelle Lara, employée à Toulouges et syndicaliste . Nous lui demandions alors si Pôle emploi pouvait assurer sa mission de service public. On se doutait que ça n'était pas facile, mais c'était pire que ce qu'on imaginait.
    Réorganisation désorganisation, dans quel but ?


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  • Une bien belge histoire  troisième épisode

    Dans une commune wallonne "à facilités" pour les flamands, nous avons bu pas mal de  bière. L 'avenir de la Belgique n'en a été que plus facile à envisager au pied des photos de Michel Castermans, lui aussi hanté par l'idée de frontière...


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  • Une bien belge histoire deuxième épisode

    Pour cette deuxième journée nous avons arpenté les rues d'une "commune à facilités", Renaix.
    Facilités difficiles à percevoir pour nous Français. Ici le bilinguisme est de rigueur et la tolérance aussi, teintée d'incompréhension pour les "extrémistes" et les atermoiements communautaires des dirigeants politiques.
     


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  • Une bien belge histoire

    Cet été-là, nous avions décidé de suivre la frontière, qui, nous dit-on, sépare les Wallons des Flamands. Cet été-là, les partis politiques wallons et flamands, en pleine négociation, avaient décidé de prendre des vacances et s'étaient donné rendez-vous pour le 16 août, sans le N-VA, le parti indépendantiste flamand arrivé en tête en Flandre, mais qui, décidement était impossible à raisonner.
    Aujourd'hui, cela fait plus de 500 jours que les Belges attendent un gouvernement...
    Un accord se fait jour sur la scission de Bruxelles, préalable lointain à une partition de la Belgique, contre des concessions aux francophones de la périphérie de la ville. Mais sortir la capitale européenne de la Flandre, n'est-ce pas donner à terme la possibilité de couper le pays en deux ?

    Et pourtant, tout au long de la "frontière", nous avons rencontré des Belges tout prêts à se raconter et si peu prêts à se séparer.

     


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  • VIS A VIS

    A l'occasion de Visa pour l'image, rencontre avec Thierry Grillet qui a couvert les émeutes de 2005 pour l'Indépendant. Le point de vue d'un photojounaliste local sur le traitement de l'actualité en image.(rediffusion)


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