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L'indécence d'une catastrophe.
Le 19 mars le réseau "Sortir du nucléaire" appelait à faire une chaîne humaine devant la préfecture de Perpignan.
On s'en doutait un peu, mais on avait espoir ; après Tchernobyl et son nuage contorsionniste, les autorités françaises allaient faire preuve de la transparence la plus totale et informer les citoyens en temps réel. Quelle ne fut pas notre surprise mercredi 23 mars ! Les radios de Radio France diffusent ce jour là des informations contradictoires; sur France info le nuage passe en fin de soirée ; à la même heure sur France inter il est déjà passé dans la journée tandis que sur France culture un membre de la Criirad (Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité) poussse une grosse colère à l'encontre de la Haute Autorité de Sûreté Nucléaire qui ne joue pas son rôle. La Criirad est débordée d'appels de Français inquiets. Depuis plus aucune information sur le "nuage". Sans doute a-t-il disparu? Sauf que la Criirad avertit : c'est dans les jours à venir que les retombées risquent d'être plus nocives. Pour y voir plus clair, retrouvez en lien, dans le défilant, le site de la Criirad.
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D'ailleurs je suis d'ici.
Photos d'identité de gens venus d'ailleurs.
Se sentent-ils catalans ? votre commentaire
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On leur a demandé la une.
En fait, on leur a demandé trois unes: la une de leur passé, la une de leur présent, la une qu'ils espèrent.
Un plateau ouvert aux gens d' ici pour découvrir ce qui fait leur une (au pluriel).
Pour cette première, Nicolas Iarossi auteur, compositeur, interprète. votre commentaire
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D'ailleurs je suis d'ici.
Photos d'identité de gens venus d'ailleurs. Se sentent-ils catalans?
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